Les chefs d’œuvres sont asexués
Cette asexuation, cette distanciation de l’auteur vis-à-vis de son texte, cette tentative de compromission perpétuelle, ce génie de l’effacement propice à la cristallisation des phénomènes les plus imperceptibles, les plus abstraits, les plus pertinents, peut-être est ce qui manque aux tenants du féminisme actuel. Une auteure qui ne vaut rien tant qu’elle n’est pas une femme n’est pas une auteure, c’est une femme !
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